mardi 3 septembre 2013

Histoires de mamans




Etre maman humaine n’est peut-être pas le meilleur filon.

J’aurais, par exemple, bien  voulu accoucher comme une maman panda (100g de bébé panda qui sortent pour 100kg de maman: l’affaire ne doit pas être trop douloureuse) et voir mon petit disparaître dans mes poils*.

Par contre maman chat, j’y ai bien réfléchi et bien, c’est euh, hé, hein, bon : NON. Au début, c’est tout mignon, il y en a 4 qui sortent facilement les uns après les autres : pop, pop, pop, pop, mais d’avoir hébergé une couvée, à l’insu de mon plein gré sous l’armoire de ma chambre, et cela par deux fois, je sais de source sûre qu’être maman-chat c’est loin d’être une sinécure. Parce que voyez-vous, la première chose qui m’a intriguée c’est de constater que le lieu où dorment les chatons reste en permanence propre. Or un chaton, que je sache, ne connaît pas encore la litière. Non-non-non. Alors c’est qui-qui mon cher Watson, qui nettoie tout ce qui sort des charmants bambins ? C’est qui-qui hein? Maman chat, voui. Beurk. Depuis que je sais ça, je ne regarde plus ma petite Myrtille du même œil et surtout, j’évite de fâcheux frôlements de museau. Déjà, que je trouvais qu’elle ne sentait pas la rose quand elle mangeait des croquettes au poisson …

* quoi que, tous ces poils à épiler, ce n’est pas trop top finalement.

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