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mardi 3 septembre 2013

Histoires de mamans




Etre maman humaine n’est peut-être pas le meilleur filon.

J’aurais, par exemple, bien  voulu accoucher comme une maman panda (100g de bébé panda qui sortent pour 100kg de maman: l’affaire ne doit pas être trop douloureuse) et voir mon petit disparaître dans mes poils*.

Par contre maman chat, j’y ai bien réfléchi et bien, c’est euh, hé, hein, bon : NON. Au début, c’est tout mignon, il y en a 4 qui sortent facilement les uns après les autres : pop, pop, pop, pop, mais d’avoir hébergé une couvée, à l’insu de mon plein gré sous l’armoire de ma chambre, et cela par deux fois, je sais de source sûre qu’être maman-chat c’est loin d’être une sinécure. Parce que voyez-vous, la première chose qui m’a intriguée c’est de constater que le lieu où dorment les chatons reste en permanence propre. Or un chaton, que je sache, ne connaît pas encore la litière. Non-non-non. Alors c’est qui-qui mon cher Watson, qui nettoie tout ce qui sort des charmants bambins ? C’est qui-qui hein? Maman chat, voui. Beurk. Depuis que je sais ça, je ne regarde plus ma petite Myrtille du même œil et surtout, j’évite de fâcheux frôlements de museau. Déjà, que je trouvais qu’elle ne sentait pas la rose quand elle mangeait des croquettes au poisson …

* quoi que, tous ces poils à épiler, ce n’est pas trop top finalement.

jeudi 29 août 2013

Le chat-chien brésilien




Parmi nos 7 chats (7 chats, au secours ! Heureusement, 4 ne sont que de passage et seront adoptés une fois sevrés d’ici deux mois), nous avons la grande chance d’avoir un chat-chien brésilien.

Késsako ?

Grisella, oui c’est elle qui se prend pour un cosmonaute sur la photo (plutôt que de boire dans son verre d’eau, elle préfère renverser la cruche sur la table et se servir directement à la source),  n’a de féminin que le nom. Effectivement, nous nous sommes rendus compte que les petites choses perceptibles que depuis peu sous son arrière-train sont en fait un appendice masculin. Il paraîtrait qu’il est souvent difficile d’identifier un chaton mâle, d’un chaton femelle et que plouf, nous sommes tombés les deux pieds dans le piège : pas d’appendice encore apparents à plus de six moi=femelle. Que nenni :-D.

Grisella est donc Grisello et son côté transformiste lui donne un petit air brésilien qui lui va bien, surtout qu’il/elle a l’air de danser la samba quand il/elle essaie d’attraper une mouche ou un papillon.

Grisella que l’on tente en douceur de renommer Grigri (Grisello c’est décidément trop moche) a en outre comme particularité de se comporter comme un chien. Elle suit Platypusson et Platypucette à la trace, ne les quitte pas d’une semelle et aboie miaule pour attirer l’attention et obtenir des caresses. Et pourtant, on ne peut pas dire que les enfants soient tendres avec il/elle. Mais Grigri s’obstine, court comme un dératé pour les rejoindre dans le trampoline alors que je doute qu’il aime se faire sauter en l’air comme des petites pommes de terre rôties, ce qui arrive pourtant à chaque fois qu’il se retrouve sur la surface rebondissante.