J’aurais,
par exemple, bien voulu accoucher comme une
maman panda (100g de bébé panda qui sortent pour 100kg de maman: l’affaire ne
doit pas être trop douloureuse) et voir mon petit disparaître dans mes poils*.
Par
contre maman chat, j’y ai bien réfléchi et bien, c’est euh, hé, hein, bon :
NON. Au début, c’est tout mignon, il y en a 4 qui sortent facilement les uns
après les autres : pop, pop, pop, pop, mais d’avoir hébergé une couvée, à
l’insu de mon plein gré sous l’armoire de ma chambre, et cela par deux fois, je
sais de source sûre qu’être maman-chat c’est loin d’être une sinécure. Parce
que voyez-vous, la première chose qui m’a intriguée c’est de constater que le
lieu où dorment les chatons reste en permanence propre. Or un chaton, que je
sache, ne connaît pas encore la litière. Non-non-non. Alors c’est qui-qui mon
cher Watson, qui nettoie tout ce qui sort des charmants bambins ? C’est
qui-qui hein? Maman chat, voui. Beurk. Depuis que je sais ça, je ne regarde plus
ma petite Myrtille du même œil et surtout, j’évite de fâcheux frôlements
de museau. Déjà, que je trouvais qu’elle ne sentait pas la rose quand elle
mangeait des croquettes au poisson …
* quoi que, tous ces poils à épiler, ce n’est pas trop top finalement.
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