Parmi
nos 7 chats (7 chats, au secours ! Heureusement, 4 ne sont que de passage
et seront adoptés une fois sevrés d’ici deux mois), nous avons la grande chance d’avoir un chat-chien brésilien.
Késsako ?
Grisella,
oui c’est elle qui se prend pour un cosmonaute sur la photo (plutôt que de
boire dans son verre d’eau, elle préfère renverser la cruche sur la table et se
servir directement à la source), n’a de
féminin que le nom. Effectivement, nous nous sommes rendus compte que les
petites choses perceptibles que depuis peu sous son arrière-train sont en fait
un appendice masculin. Il paraîtrait qu’il est souvent difficile d’identifier
un chaton mâle, d’un chaton femelle et que plouf, nous sommes tombés les deux
pieds dans le piège : pas d’appendice encore apparents à plus de six
moi=femelle. Que nenni :-D.
Grisella
est donc Grisello et son côté transformiste lui donne un petit air brésilien
qui lui va bien, surtout qu’il/elle a l’air de danser la samba quand il/elle
essaie d’attraper une mouche ou un papillon.
Grisella
que l’on tente en douceur de renommer Grigri (Grisello c’est décidément trop
moche) a en outre comme particularité de se comporter comme un chien. Elle suit
Platypusson et Platypucette à la trace, ne les quitte pas d’une semelle et
aboie miaule pour attirer l’attention et obtenir des caresses. Et pourtant, on
ne peut pas dire que les enfants soient tendres avec il/elle. Mais Grigri s’obstine,
court comme un dératé pour les rejoindre dans le trampoline alors que je doute
qu’il aime se faire sauter en l’air comme des petites pommes de terre rôties,
ce qui arrive pourtant à chaque fois qu’il se retrouve sur la surface rebondissante.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire